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Entre Montréal et Strasbourg, Atopiak se veut un espace critique, proposant des textes qui reviennent sur les évènements actuels - voire même inactuels.
Pour cela, nous pensons nécessaire le temps de la distance et de la réflexion, qui permet de mieux replacer l'actualité dans des perspectives historiques, littéraires, artistiques ou philosophiques - une actualité en chassant souvent l'autre. Bref, nous tentons avec nos modestes moyens de donner un peu d'épaisseur à notre présent.
Et comme si cela ne suffisait pas, nous espérons aussi, par nos textes, faire la promotion des sciences humaines en tant qu'outil pour comprendre le monde. A l'heure où l'on parle si souvent de leur inutilité, il est important de rappeler combien ces disciplines sont "humaines" et combien elles peuvent être précieuses pour prendre de la hauteur, redonner du sens au présent, s'interroger .
Nos articles sont longs? Oui, mais ils sont comme nous : ils prennent leur temps!
N'hésitez pas, bien entendu, à laisser votre commentaire ou vos réactions : nous vous répondrons avec plaisir.

Qui sommes-nous?
Atopiak, c'est un monstre à deux têtes, une rédaction bicéphale! Thomas Werlé, qui vient des arts plastiques, est passé par la critique d'art puis par la gestion culturelle à HEC Montréal, et tente à présent de coordonner le tout.
Isabelle Soraru, docteur en littérature comparée se dépêtre pour l'instant dans les sables mouvants de l'éducation nationale après des études au Conservatoire et à l'Université, et un post-doctorat à Montréal.
Accessoirement, nous nous intéressons pas mal à la culture et aux arts, mais aussi à l'émergence de financements alternatifs pour les structures culturelles.
(Et on aime aussi faire la cuisine).